» J’ai découvert le graffiti à travers un stage BAFA à Nantes, puis en couvrant mon premier festival de hip-hop à Bobigny en Seine-Saint-Denis. J’ai voulu rendre hommage aux artistes-graffeurs avec un travail de mémoire sur la culture hip-hop.
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Au départ, c’était une documentation personnelle, j’ai voulu montrer par mon travail photographique l’esprit positif qui émanait du hip-hop. Le graffiti et la danse sont devenus une partie essentielle de mon travail sans que je m’en aperçoive.
Exposition de Dragan LEKIC – Samedi 24 Septembre à 15h
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Je voulais capter ces instants éphémères qui allaient disparaître, préserver une part d’histoire. Souvent, l’art se dissimule dans les détails du quotidien, les graffs expriment souvent la réalité d’une société. Ils revendiquent : la politique, l’urbanisme, la culture, la violence, la consommation. Aujourd’hui, je continue de sillonner les rues des villes toujours à la recherche des graffs ou de belles fresques. »